Qui a inventé NASKA ?

Mais c'est pendant les entraînements hivernaux que le problème de la rhinite a commencé à apparaître : après chaque séance, je devais toujours me moucher un peu. L'intensité de ce malaise a augmenté au fil des années, au point que j'éternuais toute une journée après chaque entraînement.
J'ai tout essayé : pince-nez, vaseline sur les muqueuses, lavages de nez au sérum physiologique après chaque séance... mais rien n'a fonctionné.

En 2022, j'ai littéralement dû raccrocher mes lunettes car même une séance légère de 15 minutes suffisait à me mettre KO pour toute la journée.
En 2023, après une année entière d'arrêt, j'ai essayé de retourner à la piscine, pensant qu'après un an sans chlore, quelque chose aurait pu s'améliorer, mais j'ai été traumatisé : il n'y avait rien à faire, c'était comme si la rhinite m'attendait tout ce temps.

C'est alors que j'ai remarqué que pendant la rhinite, je ressentais toujours un picotement particulier à la base de mes narines. En effet, le pince-nez laissait cette partie du nez exposée au chlore et, en comprimant les parois nasales, empêchait la circulation sanguine normale dans cette zone.
Un soir, je me suis promené dans la maison en pensant à comment créer une sorte de protection pour tout le nez. Par hasard, j'ai remarqué la forme d'une bouteille en plastique que j'allais jeter : si on la coupait à un certain endroit, elle pouvait vaguement ressembler à un nez. J'ai travaillé dessus toute la nuit, et à la fin, j'ai obtenu ceci : La semaine suivante, je suis allé la tester avec mon fils.
Il a fallu du courage, à la fois pour affronter le regard des autres nageurs et pour affronter les conséquences si le masque ne fonctionnait pas, ce qui aurait signifié une journée entière d'éternuements.
Mais le plus étonnant, c'est qu'il ne s'est rien passé ! Pas d'éternuements, pas de nez qui coule, rien. J'étais ravi, mais je ne voulais pas encore y croire, d'autant plus que la rhinite ne se manifestait souvent pas immédiatement après la nage, mais plusieurs heures plus tard. J'ai donc attendu toute la journée et le lendemain, mais rien ne s'est passé !
Je l'ai testée encore cinq jours sans aucun problème : ça a marché !
Pour être clair : de l'eau entrait de tous les côtés, et un peu de chlore entrait sûrement en contact avec mes narines, mais l'exposition était bien moindre qu'avant. J'ai aussi remarqué qu'avec le masque, je pouvais expirer par le nez, comme lorsque je nageais sans pince-nez. En expirant par le nez, l'eau qui était entrée était expulsée avec l'air.
Pour arriver au masque que vous voyez aujourd'hui sur le site, j'ai dû réaliser des dizaines de prototypes, chacun me permettant de l'optimiser davantage.

Pouvoir nager à nouveau sans problème a récompensé tous les efforts que j'ai consacrés à sa création. J'ai même décidé de rejoindre à nouveau l'équipe de natation que j'avais dû quitter à cause de la rhinite. Grâce à ce masque, je peux même supporter des séances d'entraînement intenses sans plus aucun souci.

Je ne sais pas si ce masque peut être la solution pour tout le monde, mais pour moi, il l'a été à 100 %.
J'espère pouvoir aider tous ceux qui, comme moi, ont dû arrêter de nager, et ainsi se priver d'une activité si saine, à recommencer.

Ce masque est dédié à tous ceux qui AIMENT la natation et ont dû arrêter.
Essayez-le.
Si, comme dans mon cas, il fonctionne, ce sera l'un des meilleurs achats de votre vie.

Pourquoi "NASKA"